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Raisons d’être de l’ESR : 3 jours pour réfléchir et débattre

Raisons d’être de l’ESR :  3 jours pour réfléchir et débattre

En 8 ans, Think Education & Recherche est devenu un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs de l’ESR. Thierry de Teneuille, Directeur général associé du média News Tank E&R, revient sur l’édition 2023 qui se tient dans quelques jours et dont l’Arces est, une nouvelle fois, partenaire. 

Les raisons d’être de l’ESR sont au cœur de l’édition 2023. Pourquoi avoir choisi ce thème ? 
Nous constatons depuis la sortie de la crise Covid que les établissements sont confrontés à une diversité de problématiques qui viennent questionner leurs missions et invitent à des transformations. Les universités comme les grandes écoles doivent trouver de nouveaux ressorts d’attractivité, tant auprès des enseignants que des étudiants. La quête de sens est partout. Ce n’est pas toujours facile pour les établissements d’être là où ils sont attendus parce que les lignes bougent sans cesse. En plaçant les raisons d’être de l’ESR au cœur des prochaines rencontres « Think Education & Recherche » nous espérons apporter quelques éléments de réponse. 

Qu’est-ce qui fait la force de cette rencontre ? 
Notre capacité à réunir des acteurs qui ont l’habitude de se rencontrer mais pas forcément de débattre ensemble : ministère, organisations professionnelles, établissements. La journée du 26 janvier propose différents formats d’échange dont plusieurs débats qui seront animés par nos journalistes. Un peu moins nombreux que lors des précédentes éditions et un peu plus courts (format de 45 minutes), ces débats doivent permettre de traiter de sujets pointus en allant à l’essentiel. 

Le format a quelque peu évolué depuis sa création. A quoi cela répond-il ? 
L’expérience de la crise Covid nous a amenés à opter pour un format hybride avec 1 journée en présentiel et deux matinées de webinaires. Testé l’an dernier, ce modèle semble mieux convenir à tous. La journée du 26 alterne ainsi des « revues de tendance », des retours d’expérience, des débats et des temps de rencontres plus informels. Sur les trois jours, nous attendons plus d’un millier de personnes, dont 250 pour le déjeuner du 26 janvier qui reste un temps fort de networking. 

L’événement est gratuit. Est-ce le reflet du modèle « News Tank » ?
L’événement est gratuit et ouvert à toute la communauté professionnelle grâce au soutien de nombreux partenaires publics et privés. C’est une des forces du modèle News Tank en effet : nous sommes avant tout un média, nous avons pour mission de faire émerger les questions et les tendances de l’écosystème de l’ESR. Et parce que nous sommes au cœur du système, nous sommes en capacité de détecter les sujets qui montent et de fédérer la communauté pour proposer des temps de rencontres aussi forts que Think Education et Recherche, qui eux-mêmes viennent nourrir nos articles. C’est un modèle vertueux. 

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